Premièrement, EDORA identifie un risque de moratoire, spécialement dans les cas suivants :
- sur tout le territoire wallon, dans l’attente de l’adoption des zones d’accélération des énergies renouvelables (ZAER) ;
- dans un périmètre de projet de ZAER, dans l’attente de son adoption ;
- à l’intérieur d’une ZAER monofilière, pour une demande de permis relatif à une autre filière qui peut pourtant présenter des synergies ;
- à l’extérieur des ZAER adoptées, sachant que l’atteinte des objectifs gouvernementaux nécessitera la poursuite d’un développement en dehors des ZAER.
Ensuite, EDORA craint que dans l’élaboration des outils « cartographie des zones nécessaires » et « plans des zones d’accélération des énergies renouvelables » l’adoption de certains critères méthodologiques ne freinent, de facto, les objectifs de développement des énergies renouvelables.
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